Des gestes maladroits qu’on fait subir à nos roses sans cesse, et sans s’en rendre compte non plus…
Ensuite, on se demande pourquoi elles ne sont pas aussi belles que celles de nos voisins ?
Comment on sait qu’une rose est épanouie avant tout?
Elle doit avoir une couleur vive, un parfum envahissant et fleurir à temps de manière luxuriante.
Ce sera le résultat d’un long travail entre l’entretien et la taille.
Et justement, en parlant de taille, nous allons explorer les erreurs courantes qu’on répète tout le temps et qui font en sorte que notre rosier tombe vite malade.
Sommaire
Voyons !
On doit choisir le bon moment et surtout la bonne saison pour tailler nos roses.
Sinon, cela peut entraîner un tas de dégâts dus aux dangers du gel, par exemple et à l’épuisement de l’arbuste.
-Une taille précoce en fin d’hiver par exemple ou en début de printemps, peut exposer les nouvelles pousses au gel.
-Une taille tardive épuisera le rosier et perturbera sa croissance qui aurait déjà fatigué la plante.
L’impact sera négatif sur la floraison et réduira le nombre et la qualité des fleurs.
Vous devez être un bon jardinier pour comprendre l’influence des outils de taille sur la plante et son avenir.
Si le matériel n’est pas adapté à votre rosier, vous risquez d’endommager vos jolies roses.
Voici quelques préparatifs à faire avant de passer à l’action:
-Nettoyez et stérilisez même votre sécateur pour éviter les maladies dans les coupes.
Assurez-vous de bien affûter vos outils pour garantir une bonne cicatrisation sans le moindre risque d’infection.
-Choisissez bien le type de sécateur (à enclume idéalement), pour couper le bois mort en écrasant moins le tissu végétal, c’est très important.
Et pour une coupe plus nette du bois vert, privilégiez le sécateur à bypass.
-Mettez des gants de jardinage pour éviter les accidents et les épines, et avoir un mouvement plus fluide et plus précis.
Trouvez un juste milieu entre une taille trop sévère et abusive et une taille légère et insignifiante.
-Dans le premier cas: Et en supprimant trop de tissu végétal, vous risquez de retarder la floraison de vos roses et affaiblir la plante, d’où son exposition aux maladies.
-Dans le deuxième cas: Le rosier risque une croissance désordonnée et une mauvaise qualité des fleurs.
Elles seront également plus sensibles aux parasites.
Ce qui sera juste est de retirer environ un tiers de la croissance totale de la plante, ni plus, ni moins.
N’essayez pas de donner aux roses une autre forme que celle qu’elles connaissent.
Prenez en compte la variété et les besoins spécifiques de chaque type de rosier.
En agissant ainsi, vous garantirez une floraison normale et saine, même optimale et vous protégerez l’arbuste des maladies.
-Veillez à ce que les branches ne s’entrechoquent pas, afin de laisser passer l’air et la lumière et prévenir aussi les anomalies.
-Maintenez la bonne symétrie en taillant votre arbre, cela donnera de belles roses et assurera l’équilibre général.
Chaque rosier est unique, et ils sont tous beaux.
Mais avant de les cultiver, il faut être bien préparé à la tâche.
Savoir de quoi auront besoin les roses pour prospérer, les conséquences de chaque acte que vous faites, et l’importance des moindres détails…
Tout cela compte, alors ne sous-estimez jamais cette étape de leur vie.
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